Parfums
Parfums
Mon coeur d'enfant était un paradis
Rempli d'oiseaux et de choses jolies,
Je me souviens des grands jours attiédis
Qui m'inspiraient mes premières folies.
Mon coeur de femme est un miroir terni
Où jamais plus je ne verrai l'image
De l'être en qui j'ai mis mon infini;
Mon pauvre coeur est un enfant bien sage.
Variations sur un même thème
(Dans "Le jardin des Dieux", 1908)
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