Jeanne Dortzal

Articles

Recueil: Le credo sur la montagne (1934)

Silence équatorial

Seigneur, vous ai-je dit merci

Les continents berceurs

Soir, seras-tu assez vaste?

Quand, tendue à mourir

Attablée au bar de l'espace

Minuit s'incurve

Vieux bougre, dur chagrin

Ou, nos vieux soleils?

Maison, y es-tu?

Au bord de l'autre rive

De quoi border ma tombe

D'un coup d'aile

L'être a réclamé

La mort peut me happer

N'appréhendez de ma tristesse...

Le destin peut rouler sous ma tête

Ayant franchi le cap

Quand j'aurai terminé ma tâche

Leur deux tombes

Ah! comme j'aurai tendu les bras

Je n'ai eu chaud qu'ici

Nulle crainte, je dors

Ah! ceux-là, les ai-je aimés

C'est à toi, mon Papa

Pourquoi suis-je à genoux

Paradis du mirage

Amante des matins

Quel cygne ai-je frôlé?

Ceux qui creusent le soir

Pour Pierre Guédy

Enfant, m'a-t-on dit

L'amant, la rose ou l'étoile

Ta majesté, o sang

Sommeil, rive étoilée

O puissance invisible

Mon temple intérieur

La douleur fut l'échoppe

(Je laisse à d'autres...)

Recueil "Les Versets du Soleil" (1921)

Pour la même (Isabelle Eberhardt)

Pour Isabelle Eberhardt

Un berger du Sud

Un cimetière arabe

La rue des koulouglis

Aïnaly-Tchesmé

Tlemcen en plein midid

Notre maison, là-bas...

Un figuier, la nuit...

Le vieillard au jasmin

Un portique et une esclave noire

A une femme se rendant au marabout

La mosquée verte

La sorcière arabe

Mon lit est chaud comme une rose...

Une maison de la Casbah

Sidi-Bou-Médine

Un Hammam a Tlemcen

Le cantique de la terre (Le jardin des Dieux), 1908

Vivre des jours très doux...

Tableau du soir

Sténio, comédie en un acte, en vers (1908)

Variations sur un même thème (Le jardin des Dieux), 1908

Matin d'automne

Ah! t'emmener là-bas!

Le secret d'une fleur

Comme autrefois

T'en souvient-il

Battement d'ailes

Sous les bambous

Ne m'as-tu pas dit?...

Elégies (Le jardin des Dieux), 1908.

Au fil de l'eau

Au même (A Pierre Guédy)

A Pierre Guédy

La croix de sable, 1927

J'ai suivi le chemin de sable...

Plus au Sud!...

Vers les tropiques

Pour mériter la solitude...

Bois à longue lampée

Comme j'ai peur du ciel, ce soir...

Délivre-moi, clarté

Les sept lune d'or

Attablez-vous, les hommes

O vieux coeur dénudé

Je prierai jusqu'à l'aube...

Décembre et l'âne gris

Je vous salue, maman

Pour un de ma terre

Frères d'automne, ô christs

Ah! le pas qui s'avance...

Ce ciel n'est donc pas mort

L'arbre, le brin d'herbe et lhomme...

Adore avec stupeur

Quand je serai là-bas...

J'ai dompté l'espérance

Le ciel marche contre le vent

Bois l'ombre à pleine gorge

La médaille d'El-Djem

Océan des minutes

Fumée, oiseau-fantôme

Le cercle se referme

Aujourd'hui, jour de rut...

Evoquons les pays nacrés...

Démon de l'équateur

Tel un vaisseau blessé

Le temps s'arrête en moi

Grande aile qu'on replie

Puissant et souple...

Tel un dieu qui chemine

Volupté des gueux

Arbres, lourds de frissons

Feu que j'allaite...

Hiver, long souffle bleu...

Contre la flamme

Sous quelle latitude

L'île enchantée

Désir vierge...

Serais-je donc ce pauvre...

Poème liminaire

J. Dortzal et les musiciens

Autres musiciens

Jeanne Dortzal et Massenet

Le Jardin merveilleux (Saynète) (Le Jardin des Dieux, 1908)

Le jardin merveilleux (Scène 1 et 2)

L'évasion de Perce-Neige (1910)

Etoile fugitive

J'ai poussé le vitrail

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